humanitarian image 2010 homme article histoire news muslims
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Articles de presse / In the news (20)
· Contenu audiovisuel / Media content (10)
· Humanitaire / Humanitarian (3)
· Analyses / Analysis (4)
· Rapports / Reports (3)
· Liens / Links (1)
· Economie / Economy (1)
· Opinions (1)
· Dossiers / Files (0)
oui c'est malheureusemen t cela l'afrique noir , liberté d'expression inexistante !!!
si tu as le courage d'os
Par SOleil, le 17.03.2011
crazy world.......
Par Anonyme, le 17.03.2011
· Soutenez l'action de la Croix Rouge en Côte d'Ivoire
· Women march Bloodshed in Ivory Coast (graphic video)
· Dead bodies eaten by dogs in Abidjan
· Soutenir l'action du HCR en Côte d'Ivoire
· United Nations Security Council 30 March 11
· Côte d'Ivoire : le cercle vicieux de l'impunité
· Côte d’Ivoire : 8 mars 2011 - heurts meurtriers à Abidjan
· Côte d'Ivoire : Le premier sang
· Muslims Face Growing Attacks in Ivory Coast Crisis
· President Obama speaks to Cote d'Ivoire
· Ivory Coast - Brink of civil war, but also economic ruin
· Rising Africa Blog
· Bienvenue / Welcome
· The Case for Intervention in the Ivory Coast
· Security Council imposes sanctions on Laurent Gbagbo
Date de création : 09.03.2011
Dernière mise à jour :
31.03.2011
45 articles
Les corps de deux partisans d'Alassane Ouattara, candidat à l'élection présidentielle en Côte d'Ivoire en décembre 2010, gisent dans une rue d'Abidjan le 16 décembre, victimes des violences qui ont suivi la réélection contestée de Laurent Gbagbo. Déjà en 2005, un rapport remis à l'ONU avait décrit en détail diverses exactions commises par les deux camps, mais le manque de suivi par l'ONU avait contribué au climat d'impunité en Côte d'Ivoire. © 2010 Getty Images
Par Philippe Bolopion, directeur ONU de Human Rights Watch, February 4, 2011
L'histoire des années de sang est-elle en passe de se répéter en Côte d'Ivoire ? On est en droit de le craindre, lorsqu'on constate la totale impunité dont ont bénéficié les auteurs des crimes les plus graves commis dans le pays entre septembre 2002 et octobre 2004. A l'époque, une commission d'enquête internationale avait été formée en vertu de l'accord de paix de Linas Marcoussis, avec la bénédiction du Conseil de sécurité de l'Organisation des nations unies (ONU), et sous la tutelle du Haut commissariat de l'ONU aux droits de l'homme. Les enquêteurs, cinq personnalités éminentes (dont quatre sont africaines) s'étaient rendues sur l'ensemble du territoire ivoirien et avaient entendu des centaines de témoins. Ses recommandations avaient été ignorées.
En annexe confidentielle du rapport, les enquêteurs avaient constitué une liste de 95 personnalités "présumées avoir commis des violations graves des droits de l'homme". Selon des articles de l'époque, confirmés par des diplomates, figuraient sur cette liste les noms de Simone Gbagbo, l'épouse de Laurent Gbagbo, de Charles Blé Goudé, son ministre de la jeunesse, et dans le camp opposé de Guillaume Soro, ancien chef des rebelles et désormais premier ministre du président reconnu par l'ONU, Alassane Ouattara.